Portrait chinois de Pascal Bielskis :
Une exploration des profondeurs de l’âme.
Cher Lecteur, chère lectrice,
Lors d’une conversation empreinte de poésie et de réflexion, Bielskis s’est livré à moi, votre humble serviteur, avec une profondeur remarquable.
Chaque question de ce portrait chinois de Pascal Bielskis était une invitation à plonger dans les méandres de son être, à travers des réponses teintées de l’éclat des mots choisis avec soin, évoquant des sensations et des émotions qui résonnent comme des souvenirs lointains :
Zola Ntondo : Si vous étiez une couleur, quelle teinte exprimerait le mieux votre essence ?
Pascal Bielskis : Dans le kaléidoscope de mon être, je me verrais enveloppé d’un bleu profond, tel celui de l’horizon infini où le ciel rencontre la mer, évoquant à la fois la mélancolie de l’attente et la promesse de l’infini.
Zola Ntondo : En tant qu’écrivain, quel animal vous représenterait le mieux ?
Pascal Bielskis : Je serais le gorille, majestueux et contemplatif, évoluant avec grâce dans l’épaisseur de la jungle, où la sagesse millénaire se transmet à travers les murmures des feuilles et le chant des oiseaux.
Zola Ntondo : Si vos écrits étaient un lieu, où nous emmèneraient-ils ?
Pascal Bielskis : Mes mots vous guideraient vers un promontoire solitaire, battu par les vents marins, où le temps semble suspendu dans l’écho des vagues, résonnant de la mémoire des siècles passés et des rêves à venir.
Zola Ntondo : Si vous étiez un élément naturel, lequel seriez-vous ?
Pascal Bielskis : Je m’enracinerais profondément dans la terre fertile d’une forêt ancestrale, où chaque arbre est un gardien de secrets, chaque feuille une page de l’histoire inscrite dans le murmure du vent.
Zola Ntondo : Quelle saison incarnerait le mieux vos chansons ?
Pascal Bielskis : Mes compositions évoqueraient l’Automne, cette saison de métamorphose où chaque feuille est une flamme dansante, où la lumière tamisée du crépuscule réveille les émotions enfouies dans les replis de l’âme.
Zola Ntondo : Si vous deviez vous transformer en objet, que seriez-vous ?
Pascal Bielskis : Je revêtirais la forme sacrée d’un livre ancien, dont les pages jaunies portent l’empreinte du temps et des rêves, témoignant de la quête éternelle de vérité et de beauté qui anime le cœur de l’humanité.
Zola Ntondo : Et pour terminer en beauté, si vous étiez un plat, lequel délecterait nos papilles ?
Pascal Bielskis : Je me fondrais dans les saveurs envoûtantes d’un magret de canard cuit à la perfection, accompagné de pommes de terre rissolées, un festin pour les sens qui réveille les souvenirs enfouis et exalte les plaisirs simples de la vie.
Dans ce portrait chinois de Pascal Bielskis, auteur du roman « Les Salles Sanglantes » nous invite à plonger dans les profondeurs de son être, où chaque réponse résonne comme un écho du passé et un murmure de l’éternité.
Avec toute mon admiration,
Zola Ntondo
Éditeur en chef